Le territoire et le climat de l’Amazonie amènent à remettre en perspective notre rapport à l’acte de bâtir. En Europe, nous consacrons l’architecture comme art de la permanence où nous y construisons des voûtes de pierre et de béton.
Ici, on pourrait croire que la vie s’abrite sous de gigantesques parures, des édifices conjugués avec des verbes mineur : noués, tissés, tressés.
Amazonie imagine une légère et élastique armure pour s’abriter du soleil et de la pluie sans avoir recours à la coûteuse filière de bois de sciage ni à l’utilisation du béton venu de métropole.
La structure est composée d’une charpente dense faite de bois ronds maintenus et noués par des assemblages simples en moisage. Cette utilisation des bois fins est permise par une structure tressée de type gridshell.
Cette structure filigrane permet, tout en réduisant la masse inertielle à l’intérieur du bâtiment et l’accumulation de la chaleur, d’utiliser une ressource en bois non valorisée dans la filière actuelle.
La lumière naturelle se dépose, indirectement sur l’enveloppe intérieure pour permettre un éclairage propice à l’étude et sans élever la température des salles de classe.
Le territoire et le climat de l’Amazonie amènent à remettre en perspective notre rapport à l’acte de bâtir. En Europe, nous consacrons l’architecture comme art de la permanence où nous y construisons des voûtes de pierre et de béton.
Ici, on pourrait croire que la vie s’abrite sous de gigantesques parures, des édifices conjugués avec des verbes mineur : noués, tissés, tressés.
Amazonie imagine une légère et élastique armure pour s’abriter du soleil et de la pluie sans avoir recours à la coûteuse filière de bois de sciage ni à l’utilisation du béton venu de métropole.
La structure est composée d’une charpente dense faite de bois ronds maintenus et noués par des assemblages simples en moisage. Cette utilisation des bois fins est permise par une structure tressée de type gridshell.
Cette structure filigrane permet, tout en réduisant la masse inertielle à l’intérieur du bâtiment et l’accumulation de la chaleur, d’utiliser une ressource en bois non valorisée dans la filière actuelle.
La lumière naturelle se dépose, indirectement sur l’enveloppe intérieure pour permettre un éclairage propice à l’étude et sans élever la température des salles de classe.